31 mai 2014 – Nos photos du passage de Ricardo Villalobos et Tom Trago au festival MEG 2014 !
Photographe: Michael Chidiac
Pour en savoir plus: Tom Trago, Ricardo Villalobos
30 mai 2014 – Dans le cadre du festival de musique Mutek visant à promouvoir l’innovation en technologie et musique électronique, le Métropolis accueillit Max Cooper vendredi dernier. Le DJ anglais étant maitre de la performance live, a su nous fournir un set éclectique touchant une multitude de style musical, du techno au deep house en passant par du break beat.
Auteur & Photographe: Michael Chidiac
Pour en savoir plus: Max Cooper
8 février 2014 – La dernière soirée d’Igloofest 2014 se déroula à merveille. L’ultime veillée sur les quais, étant généralement la plus satisfaisante et haute en couleur de toutes, a su tenir sa promesse. Oubliant les autres soirées dubstep/trap/house, ce 8 février était entièrement dédié au techno pur et simple. Adam Beyer, Ida Engberg et Mateo Murphy ont tous performés sur la scène principale, ce qui nous a valu une de ces soirées digne de l’Igloofest. Un vidéo recap de l’édition 2014 est déjà présente sur le site même de l’évènement. À voir !
Auteure : Laurie Goudreau
Photographe : Michael Chidiac
Pour en savoir plus: Mateo Murphy, Ida Engberg, Adam Beyer
17 janvier 2014 – Deuxième soirée entamée et la foule a presque doublée! Cette soirée, plutôt techno house, nous a présentée d’abord Mike Perras. Ce sont enchaîné deux headliners d’Igloofest 2014, soit Âme et Matthew Dear. Downside de cette année: la scène Vidéotron Mobile est littéralement côte à côte de la scène principale Sapporo, ce qui crée un mash-up de sons et de bass un peu étrange par moment. Bref, le tout était au-delà de nos attentes (source biaisée par mon adoration envers Matthew Dear, shh)!
Auteur: Laurie Goudreau
Photographe: Mike C.
Pour en savoir plus: Mike Perras, Âme, Matthew Dear
20 décembre 2013 – Ce vendredi se tenait la première de Varekai, un spectacle haut en couleurs qui a fait ses débuts ici à Montréal, en 2002. Le Cirque du Soleil arrive toujours à nous transporter dans des univers magiques et fascinants. Varekai prend place dans une forêt volcanique, habitée par d’étrange creatures. Leur univers sera toutefois bouleversé par l’arrivée d’un homme, tombé du ciel. Les costumes, les maquillages et le décor sont dignes du Cirque du Soleil. Tout est unique et soigné jusqu’au moindre détail. Ce spectacle est plus axé sur l’art du cirque traditionnel avec entre autre des numéros de cerceau aérien, équilibre, jonglerie, surface glissante, balançoires russes et j’en passe! Nous avons même droit à certains numéros de clowns, qui allège le spectacle au courant de la soirée. La scène, placée de manière centrale, donne une vue d’ensemble sur tout le spectacle, peut importe votre siège. Nul besoin de vous dire que ce spectacle est à couper le souffle. Toutefois, j’ai trouvé que l’histoire était parfois nébuleuse et peu claire. De plus, le dernier numéro avant l’entracte s’arrête rapidement et nous laisse dans le doute. Malgré ces petits points, je vous invite fortement à aller voir Varekai, en présentation au Centre Bell jusqu’au 30 décembre prochain!
Auteur: Laurie Goudreau
Photographe: Michael Chidiac
Pour en savoir plus: Varekai
6 Juillet 2013 – Pour une seconde année consécutive, Gareth Emery invitait tous ses amis de Garuda pour un spectacle diffusé en direct sur YouTube. C’est ainsi que Blake Jarrell, Ben Gold et Michael Woods se sont retrouvés à ses côtés au Governors Island à New York pour une journée entière de musique électronique.
Avec en arrière-plan l’île de Manhattan, le Governors Island est le lieu idéal pour écouter de la musique électronique un bel après-midi d’été. Qu’on aime avoir les deux pieds dans le sable sous le soleil ou bien que l’on préfère l’asphalte caché sous le chapiteau, l’espace pour danser ne vient pas à manquer. En effet, quelques 3000 fêtards se sont rassemblés dès les premières heures de l’évènement afin d’assister en première partie aux prestations de de Blake Jarrell et Ben Gold. Chacun a su réchauffer la foule à sa manière, Jarrell optant pour les mélodies progressives à la Pryda, tandis que Gold nous a offert son habituel trance qui tape fort. Gareth Emery embarque ensuite sur scène au coucher du soleil au plus grand plaisir de ses fans. La foule était hors de contrôle tout le long des deux heures et demie de son set, qui, selon nous, aurait pu commencer avec plus d’énergie mais qui n’a pas tardé avant d’en gagner. Pour conclure la journée, le vétéran Michael Woods prendra finalement le contrôle musical. À peine le début de son set entamé, il était temps pour nous de filer nous reposer afin de mieux continuer la soirée au Pacha NYC où le même lineup était présent pour une seconde performance.
Auteur et Photographe: Michael Chidiac
Équipement utilisé: Nikon D4, 24-70mm, 50mm f/1.4, 135mm f/2.0 DC
Pour en savoir plus: Gareth Emery, Blake Jarrell, Ben Gold, Michael Woods
1er Juillet 2013 – Oh Canada ! En cette journée de fête nationale nous avions décidé de sauter les célébrations traditionnelles et de nous rendre à Ottawa pour le Escapade Music Festival. Notre visite fut courte et nous y sommes resté uniquement le temps de la prestation de notre ami Scott James. Ce dernier s’est occupé de faire danser la foule seulement durant un maigre 20 minutes. Une déception qu’on mettra sur le dos des nombreux problèmes techniques qui ont forcé un retard de cinq heures de temps sur la totalité du festival.
Voici néanmoins les quelques clichés que nous avons rapporté avec nous à Montréal !
Auteur et Photographe: Michael Chidiac
Équipement utilisé: Nikon D4, 50mm f/1.4, 135mm f/2.0 DC, 24-70mm
Pour en savoir plus: Scott James
29 et 30 Juin 2013 – La seconde édition du festival torontois Digital Dreams avait lieu encore une fois cette année lors de la fin de semaine du Canada. Doublant le nombre de fêtards de 25000 à un gros 50000, c’est avec enthousiasme palpable que la foule était venue célébrer. L’action était divisée sur les trois scènes qui composent le festival: Echo Beach pour la tech-house et techno,The House Of Boom pour le dubstep et la scène principale (Dreams) pour les artistes plus mainstream.
Dans le milieu de cette folie musicale, l’équipe de Thorium s’est attaché à couvrir le Echo Beach Stage où l’on a pu retrouver un lineup des plus solides. Lors de la première journée, nous avons eu la chance de commencer les festivités avec le duo canadien Art Department qui ont su garder les choses deep et progressives. Continuant les choses pour les premiers moments de la nuit, Paco Osuna embarquera avec son style techno beaucoup plus dure. Un habitué des soirées ENTER à Ibiza, il cède sa place à la tête derrière ces fêtes endiablés, le canadien / britannique / américain Richie Hawtin. Dès son entrée sur scène on a pu constater un changement dans les sons utilisés. Principalement minimal, le son de Hawtin est particulièrement difficile à qualifier, mais un mot qui me vient souvent à l’esprit est unique. Et ceci est largement du au fait qu’il créer la majorité de son contenu live. Une première journée de genres musicaux variés qui se complémentait à merveille. On notera au passage l’absence du vagabundo Luciano qui était supposé joué entre les prestations de Art Department et Richie Hawtin mais à malheureusement du annuler sa prestation pour des raisons médicales.
La seconde journée était davantage orientée tech-house avec une finition techno. Tout d’abord Umek et Mark Knight ont enchainés leur tech-house commercial à la ToolRoom/1605, un style très moderne et adapté aux fêtes extérieures sous le soleil accablant. Afin de nous servir du tech-house plus classique, l’homme derrière Viva Music, Steve Lawler, a ensuite pris le contrôle des platines. Se hissant sans problème au top des sets entendus au cours de cette fin de semaine, construisant un groove inégalé jusqu’à présent. Cette place au sommet aura cependant été de courte durée avec le passage de Dubfire qui est venu ravir la place de meilleur set du festival. Avec son techno partageant des ressemblances au sons de Richie Hawtin, l’iranien a su nous livrer une prestation de fermeture inoubliable !
Même si ce n’était que la seconde édition du festival Digital Dreams, la qualité de la production ainsi que des artistes invités nous laissent rêveur. Et nous espérons être parmi les chanceux qui retourneront à Toronto l’année prochaine !
Auteur et Photographe: Michael Chidiac
Équipement utilisé: Nikon D4, 50mm f/1.4, 135mm f/2.0 DC, 24-70mm
Pour en savoir plus: Digital Dreams Festival
20 Mai 2013 – Un nouvel été s’amorce à Montréal. Et qui dit saison estivale, dit nécessairement Piknic Electronik. Pour célébrer l’ouverture du festival, le légendaire Carl Craig de Detroit était de passage en ce dimanche nuageux. Dès notre arrivée sur le site de l’île Sainte-Hélène, le duo Montréalais Creatures Of Habit, constitué de Maher Daniel et de Amir Javasoul prépare tranquillement la piste de danse. Musique légère mais entrainante, l’ambiance reste calme jusqu’à l’arrivé de la tête d’affiche. Commençant son set sur une touche deep house afin de s’incorporer correctement avec l’ambiance en place, il ne tarde pas avant de jouer le techno progressif pour lequel il est connu. Une foule assez dense était présente pour cette première fin de semaine, dansant jusqu’au coucher du soleil.
Une première édition digne du nom du Piknic Electronik pour bien commencer cette saison d’une festival maintenant rendu un incontournable à Montréal !
Auteur et Photographe: Michael Chidiac
Équipement utilisé: Nikon D4, 135mm f/2.0 DC, 24-70mm, 50mm f/1.4
Pour en savoir plus: Carl Craig
31 mars 2013 – Il n’est que 21 heures et déjà, quelques minutes seulement après l’ouverture des portes, nous foulons le dance floor du Palais des Congrès. Les locaux Mike McCarthy et Project Offset s’affairent tranquillement à mettre en place l’ambiance de la soirée, augmentant leur énergie au fur et à mesure que les fêtards font leur apparition sur la piste. Aux douze coups de minuit, le duo allemand Cosmic Gate prend le contrôle de la salle trance. Un set très classique et prévisible de leur part, mais parsemé de morceaux mémorables tels que Exploration of Space et Fire Wire qui installent indéniablement un sourire aux lèvres à leur écoute.. La performance de la vocaliste australienne Emma Hewitt s’est incorporée parfaitement à leur set, sa voix étant tout aussi resplendissante que sa personne. Il est maintenant 2 heures et la salle est remplie à craquer, tout le monde attendant avec impatience l’apparition du DJ numéro 1 au monde, Armin Van Buuren. Dès son arrivée sur scène, l’énergie atteint un tout autre niveau. Commençant son set avec Omnia – The Light, il joue un set typique de trance vocal pour lequel il est reconnu. Finalement, il entame un style plus sombre lors de sa dernière heure afin de terminer sa prestation sur une note forte.
Le moment le plus anticipé de la soirée est enfin arrivé. Deux des plus grands DJs trance de l’histoire se sont unis afin de former un nouveau groupe : New World Punx. Les deux DJs en question, Markus Schulz et Ferry Corsten, ont originalement un style disctinct l’un de l’autre Ils réussissent pourtant à trouver un point milieu entre les mélodies de Ferry et les sons dark et banging de Markus pour leur performance conjointe. Ils commencent leur set sur leur collaboration Loops & Tings, un rework du classique de Jens du même nom. Leur style haut en énergie est parfait pour des évènements tel que le Bal en Blanc, où le public a besoin de cette dynamique afin de les garder en mouvement jusqu’aux petites heures du matin.
Nous avons fait un tour dans la salle house afin de voir l’entrée sur scène de l’ancien numéro 1, David Guetta. Une foule en furie attend avec impatience l’apparition du dj français tout en chantant un “GUETTA, GUETTA” au plus fort de leur poumons. Ce dernier ne perd aucune seconde et commence son set sur une touche si forte, qu’on aurait cru être dans la salle trance. Le DJ booth dans lequel il se trouve commence alors à tourner, permettant à tous les fans se retrouvant des quatre bords du cube de voir l’artiste en action. Cette scène spéciale, conçu par Moment Factory, est en plein centre de la salle et fait changement des scènes se retrouvant à l’avant de la salle. C’est par contre pour cette formule que la firme montréalaise a opté pour la salle trance, c’est-à-dire une table entourée de lumière et laser avec une toile à projection allant du plancher jusqu’au plafond ainsi que de bord en bord de la salle. Malheureusement, nous n’avons pu écouter entendre la prestation musicale de Calvin Harris et de Peter Rauhofer, mais avons cependant entendu que de bons commentaires à leur endroit! Ils ont su satisfaire leurs fans et les amateurs de House, sans nul doute!
Par la suite, c’est Nicole Moudaber qui prend le contrôle de la salle principale alors que l’on embarque dans la passe techno de la nuit. Nicole continue à nous impressionner en faisant ce qu’elle fait le mieux, soit créer une atmosphère qui ne cesse de monter en énergie du début à la fin de son set. En effet, peu de DJs peuvent se vanter de savoir créer des build-ups comme Moudaber. Nous aurions pourtant préféré entendre quelques chansons plus distinctives ici et là afin de faire un peu changement, mais dans un set qui ne dure que deux heures et quart, il est assez difficile de le faire. Un moment clé de son set fut lorsqu’elle joua le rework de Adam Beyer de Ben Sims – I Wanna Go Back. Une chanson qui, selon elle, ne sera jamais ”released”.
Nous avons par la suite eu droit à un set live de la part de Shaded de L.A. Nous ne savions pas trop à quoi nous attendre de la part de ce jeune DJ, mais ce que nous avons entendu nous a réellement impressionnés. Travaillant beaucoup les sons dans ses compositions, il nous rappelle Richie Hawtin, le fameux DJ de Détroit reconnu pour son originalité sur scène. Sa musique étant très difficile à décrire, je suggère à tout le monde d’aller écouter Shaded – Be My Binge afin de vous donner une idée de son style musical hors du commun.
C’était le légendaire Dubfire qui ferma le bal du côté de la salle principale cette année. Une première apparition au Bal en Blanc pour le DJ iranien depuis qu’il ne forme plus le duo Deep Dish avec son acolyte Sharam. Il était sans contredit le plus solide de la soirée, réussissant à nous faire danser jusqu’à la toute fin.Nous nous arrêtions constamment pour nous dire “Mais qu’est ce que c’est que ce son”. Un des moments mémorables de son set fut lorsqu’il joua Maetrik – The Poem ainsi que Jupiter Jazz – Shake It Mama. Vraiment, un artiste dans tous les sens du terme qu’on aimerait ravoir plus souvent à Montréal.
Somme toute, la 19e édition du Bal en Blanc fut la meilleure des trois dernières années, entre autres grâce à une attention particulière au lineup de qualité, satisfaisant pour la première depuis longtemps les fans de techno.
Auteur : Michael Chidiac
Photographes : Michael Chidiac & Paul Blondé
Pour en savoir plus : Mike McCarthy, Project Offset, Emma Hewitt, Cosmic Gate, Markus Schulz, Ferry Corsten, David Guetta, Calvin Harris, Nicole Moudaber, Dubfire
